Actions Oracle

Découvrez dans cet articles les informations nécessaires sur Oracle avant d’investir dans cette société.

Envisagez-vous d’investir dans l’action Oracle ? Sachez qu’elle peut être cotée sur Nasdaq Global select Market aux États-Unis. Son acquisition reste intéressante, car ce géant américain reste le leader sur le marché des logiciels d’entreprise. Toutefois, avant d’investir, renseignez-vous sur la société. Découvrez dans notre dossier tous les éléments à savoir.

Présentation de l’action

Historique de la société

Créée par Harry Ellison en 1977, Oracle est une entreprise œuvrant dans le secteur de la technologie. Cette société américaine vend des licences (logiciels de bases de données, d’aide à la décision…) qui représentent 83,2 % de son chiffre d’affaires.

À part la vente des logiciels, elle propose également des matériels dont la vente s’élève à 8,8 % de son chiffre d’affaires. Elle met également à la disposition de ses clients des prestations de conseils et des formations qui représentent uniquement 8 % de son chiffre d’affaires.

Données boursières

Oracle se porte plutôt bien, car sa capitalisation boursière s’élève à 186 847,80 MUSD en 2017. Depuis son entrée en bourse, cette entreprise américaine a émis plus de 4 131 000 000 titres sur le marché boursier.

Actuellement, elle fait d’ailleurs partie de l’indice boursier américain SP100, ce qui lui confère une place dans les sociétés les plus puissantes en matière de capitalisation boursière.

Quant à l’actionnariat, il est détenu par :

  • Vanguard Group à 5,63 %
  • Capital World Investors (4.20%)
  • BlackRock Fund Advisors (3.84%)
  • Fidelity Management and Research Company (3.18%)
  • State Street Corporation (1.44%)
  • Commonwealth Bank of Australia (1.40%)
  • First State Investment Management (1.20%)
  • Schroder Investment Management et à 1.12% de State Street Global Markets.

Les partenaires

Le groupe américain noue des partenariats avec des entreprises importantes. En 2013, il s’est allié avec son concurrent « Salesforce ». Leur collaboration porte sur l’intégration de leur cloud pendant plus de 9 ans. Grâce à ce partenariat, Oracle s’est ouvert à d’autres horizons.

L’entreprise américaine a encore élargi sa collaboration cette année 2013. Cette fois-ci, elle s’est alliée avec son principal rival : Microsoft.

Les concurrents

Bien que le géant américain des logiciels d’entreprise soit leader sur le marché, il est concurrencé par d’autres groupes importants, comme :

  • Microsoft 
  • IBM (ce dernier se positionne au second rang du classement en matière de chiffre d’affaires qu’Oracle)
  • Autres concurrents qui incluent plusieurs marques, comme siemens, Adobe…

Stratégies à prendre pour investir

La prévision, l’estimation et le cours en bourse

Récemment, Oracle se montre positif face à sa situation financière, car il enregistre un bénéfice plutôt encourageant l’année 2020. En effet, son BPA (bénéfice par action) a représenté 1.16 contre 1,11 de consensus.

Malheureusement, Wall Street n’est pas du même avis. Selon les spécialistes, l’entreprise a connu une croissance assez maigre. Ils incitent les dirigeants à prendre des mesures nécessaires.

Bien évidemment, la société a déjà envisagé des solutions pour rebondir face à cette période de crise. En 2021, elle envisage par exemple d’augmenter son dividende par action de 1,04 dollar, contre 0,96 dollar en 2020.

Les arguments en faveur de l’action

Malgré le cours fluctuant, de nombreux investisseurs s’intéressent encore à l’action Oracle. Leur engouement s’explique par :

  • La qualité de ses services
  • Sa force de travail
  • Son leadership sur la vente des logiciels d’entreprise
  • Sa capacité d’innovation
  • Son portefeuille varié
  • Ses stratégies de communication

Les baisses

Malgré les points forts, le groupe américain des logiciels d’entreprise présente également quelques faiblesses. Prenons l’exemple de la concurrence. Celle-ci est effectivement très rude, car de nombreuses sociétés proposent des services similaires.

Au-delà de la concurrence, la marque a également connu une baisse de popularité à cause d’un procès. Elle a fait l’objet de poursuites judiciaires qui l'ont bien dévalorisé aux yeux de ses clients.